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Dessin chinois représentant des convives autour d'une table

Quelques suggestions

Quelques suggestions

● A moins que tous vos invités n'aient déjà solidement acquis l'art de manier des baguettes, il est prudent d'ajouter une fourchette à chaque couvert.

● Au lieu de ne prendre qu'un morceau d'aliment à la fois et le porter immédiatement à la bouche, vous pouvez, à l'aide de vos baguettes ou de votre cuiller, prendre une petite portion et la poser dans votre bol individuel pour la déguster en trois ou quatre bouchées. C'est une solution de compromis entre la façon chinoise et la façon occidentale.

● J'estime qu'il est bon aussi d'avoir des couverts de service composés de cuillers et de baguettes (et même de fourchettes), ce qui évite que les convives touchent les mets dans les plats communs avec leurs baguettes ou leurs cuillers individuelles. Il est recommandé de fournir, pour chaque plat, un couvert de service par trois personnes (s'il y a douze convives, il faut quatre couverts de service pour le plat de poisson, quatre autres pour le plat de poulet, et ainsi de suite). Pour éviter de fâcheuses confusions toujours possibles, il est préférable que les couverts de service soient différents en forme et/ou en couleur des couverts individuels.

● La pratique de distribuer aux convives tout le contenu d'un plat en une seule fois me semble peu indiquée. Il serait plus attachant que les convives aient la possibilité de puiser plusieurs fois dans un même plat.

● Il me semble aussi que la pratique chinoise de porter un bol de riz aux lèvres et de propulser le riz dans la bouche à l'aide de baguettes manque plutôt de grâce dans le contexte occidental. Vous pouvez, pour ne pas renoncer à vos baguettes dont vous êtes probablement fière, les utiliser comme une fourchette pour prendre du riz et le porter à la bouche, votre bol restant posé sur la table.


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Citations

Le pénible fardeau de n'avoir rien à faire (Boileau).
Un simple frôlement de manches fait naître l'amour (proverbe japonais).
Les hommes diffèrent moins par leurs complexions naturelles que par la culture qu'ils se donnent (proverbe chinois).
Un riche avare est plus pauvre qu'un gueux (proverbe russe).