Votre prénom Oumaïr (homme) et les étapes de votre vie
● Sage et doué, Oumaïr peut raisonnablement connaître une enfance et une jeunesse relativement calmes et douillettes. Aucun problème insoluble et aucun bouleversement dramatique ne sont à craindre a priori. Pourtant de sérieuses difficultés conjugales et familiales pourraient s'abattre sur lui pendant sa jeunesse s'il n'arrivait pas à maîtriser son coeur d'artichaut. On sait que les Oumaïr sont volages, qu'ils résistent mal à l'envie de flirter et de se lancer dans des aventures extra-conjugales. Quand il s'agit d'amour, Oumaïr perd en général son solide bon sens habituel. Cupidon a peu de peine à l'entraîner à sa perte.
● Les Oumaïr nés un jour de pluie, doivent faire particulièrement attention aux accidents, surtout aux accidents de la route. En voiture, ils ne doivent jamais oublier de boucler leur ceinture de sécurité, même pour de très courts trajets. Une autre cause de mort violente pourrait être les champignons vénéneux. En tout cas, ils ont intérêt à ne jamais prendre de risques inutiles.
● Passé le cap de la cinquantaine, Oumaïr devient en général la proie du démon de midi et connaît alors une vie difficile, tourmentée, pleine de rebondissements. Ayant la nostalgie des plaisirs amoureux de sa jeunesse et conscient du déclin de ses désirs, Oumaïr abandonne volontiers son conjoint vieillissant pour aller à la recherche d'autres lunes de miel avec des partenaires plus jeunes. Ces passions, aussi violentes qu'éphémères, "se teintent beaucoup moins de tendresse que de possessivité. Et cette possessivité, alliée à un sentiment d'infériorité, tel qu'il résulte de l'obscure conscience de l'insuffisance notoire des moyens de séduction, se traduit par une série de sentiments puissants à base de jalousie" (H. Hesnard).
Citations
Science, esprit, beauté, fortune, tout, ici-bas, est impuissant à donner le bonheur, sans l'amour (Saintine).
Mourir, c'est finir de vivre ; mais finir de vivre, c'est tout autre chose que de mourir (proverbe chinois).
Le bienfait revient à la porte de son auteur (proverbe persan).