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Image d'une petite sirène

Dans le judaïsme

Dans le judaïsme

● Dans le Kabbalah et le folklore juif européen (qui ne croit pas à la possession par des démons), la possession est prise dans un autre contexte (souvent considéré comme positif). Une personne peut être possédée par un esprit appelé dybbuk, qui est l'âme disloquée d'une personne morte, retourné du Gehenna (un terme hébreu pour désigner un purgatoire où tous les esprits vont avant d'aller au Ciel. Il se réfère à la vallée en dehors de Jérusalem où les ordures de la ville et morts étaient brûlés. Le mot désigna plus tard "la vallée de la mort" qui fut traduit par les chrétiens comme l'"enfer").

● Selon ces croyances, en de rares occasions, une âme qui n'a pas pu accomplir sa mission sur Terre, peut avoir une autre chance de l'accomplir ainsi sous forme de dybbuk. L'âme "s'attache" alors elle-même à une personne vivante pour réaliser sa mission.

● Il y aurait de bons et des mauvais dybbuks. Avec un bon, l'"attachement" par le dybbuk a plus un rôle "d'un guide spirituel" pour aider la personne avec les épreuves et tribulations courantes que l'âme a été attirée à réaliser. Ces "bonnes" possessions sont désignées sous le nom d'un 'sod ha'ibbur.

● Avec un mauvais dybbuk, l'esprit n'est pas là pour aider, mais pour causer les mêmes erreurs que la personne a faites durant sa propre vie.

● Dans le cas de l'exorcisme, il y a généralement deux types - bien que tous les deux prennent une forme beaucoup moins négative que dans le contexte chrétien.

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Citations

Rien de grand ne se fait sans chimères (E. Renan).
Il faut plus d'esprit pour faire l'amour que pour conduire des armées (Ninon de Lenclos).
Celui qui n'entend pas les deux parties ne peut connaître la vérité (proverbe chinois).
L' enfant est l'argile, la mère est le potier (proverbe tadjik).