logo AsiaFlash.com Photo de Nguyen Ngoc-Rao
Logo département 400.000 prénoms
Femme tenant la main sur son front devant son ordinateur

Votre prénom Fayez (homme) et les étapes de votre vie

● L'évolution typique de la vie des Fayez se fait en trois phases distinctes. Ils connaissent en général une enfance et une adolescence heureuses grâce à leur charmante personnalité. Leurs années actives sont d'abord marquées par des succès professionnels puis par des difficultés d'ordre affectif. Ces difficultés peuvent atteindre des proportions parfois importantes. Mais si les Fayez arrivent à s'en sortir, leur troisième âge sera relativement heureux, car ils auront acquis la sécurité matérielle et une bonne dose de sagesse. Ils pourront peut-être de temps en temps remuer les cendres du passé et s'apitoyer sur eux-mêmes, estimant que le destin leur a été particulièrement sévère et injuste. Mais ils auront généralement assez de sérénité pour savourer les années qui leur restent encore à vivre. Puis ils quitteront la vie avec la satisfaction d'un convive rassasié sortant d'un banquet.

● Les Fayez nés en été ont plus de chance de bonheur que ceux nés en une autre période de l'année. L'été, en effet, est la saison de l'abondance, et ces Fayez -là qui viennent au monde pendant la belle saison ont immédiatement la conviction que la vie n'est ni une croix à porter ni une lutte sans merci et perpétuelle. Ils traverseront leurs années d'existence plus détendus, et c'est précisément cette décontraction qui les aidera à réussir plus facilement en affaires et à éviter plus efficacement les écueils de la vie affective qui menacent tous les Fayez.


Avertissement — Il arrive parfois que vous obteniez le même résultat pour deux prénoms différents. Ceci n'a rien d'étonnant : les deux prénoms appartiennent dans ce cas à un même prénom-pilote. C'est comme en astrologie : deux personnes appartenant à un même signe présentent les mêmes traits caractéristiques.

Citations

C'est étrange, mais vrai; car la vérité est toujours étrange, plus étrange que la fiction (Byron).
Moindre mon espoir, plus grand mon amour (Térence).
L'empereur ne se porte jamais aussi bien à Pékin que lorsqu'on le dit malade à la campagne (proverbe chinois).
Qui risque un œil perd les deux (proverbe anglais).