Votre prénom My-Châu (femme) et les étapes de votre vie
● Sage et douée, My-Châu peut raisonnablement connaître une enfance et une jeunesse relativement calmes et douillettes. Aucun problème insoluble et aucun bouleversement dramatique ne sont à craindre a priori. Pourtant de sérieuses difficultés conjugales et familiales pourraient s'abattre sur elle pendant sa jeunesse si elle n'arrivait pas à maîtriser son coeur d'artichaut. On sait que les My-Châu sont volages, qu'elles résistent mal à l'envie de flirter et de se lancer dans des aventures extra-conjugales. Quand il s'agit d'amour, My-Châu perd en général son solide bon sens habituel. Cupidon a peu de peine à l'entraîner à sa perte.
● Les My-Châu nées un jour de pluie, doivent faire particulièrement attention aux accidents, surtout aux accidents de la route. En voiture, elles ne doivent jamais oublier de boucler leur ceinture de sécurité, même pour de très courts trajets. Une autre cause de mort violente pourrait être les champignons vénéneux. En tout cas, elles ont intérêt à ne jamais prendre de risques inutiles.
● Après la ménopause, My-Châu devient en général la proie du démon de midi et connaît alors une vie difficile, tourmentée, pleine de rebondissements. Ayant la nostalgie des plaisirs amoureux de sa jeunesse et consciente du déclin de ses désirs, My-Châu abandonne volontiers son conjoint vieillissant pour aller à la recherche d'autres lunes de miel avec des partenaires plus jeunes. Ces passions, aussi violentes qu'éphémères, "se teintent beaucoup moins de tendresse que de possessivité. Et cette possessivité, alliée à un sentiment d'infériorité, tel qu'il résulte de l'obscure conscience de l'insuffisance notoire des moyens de séduction, se traduit par une série de sentiments puissants à base de jalousie" (H. Hesnard).
Citations
Qui ignore l'amour, vit au milieu des fauves, Mais qui a mal aimé, effarouche les fauves (Lope de Vega).
Comme l'eau courante ne peut croupir, les gonds de la porte d'un ami ne peuvent se gripper (proverbe chinois).
On arriverait à fermer les portes de la ville, mais jamais la bouche des hommes (proverbe persan).