Le secret du bonheur suivant votre prénom : Tsourichadaï (homme)
● En parlant de l'habileté, Mencius, un des plus grands philosophes chinois, disait : "Je déteste la couleur violette, dans la crainte qu'elle ne se confonde avec la couleur pourpre." Il voulait dire par là que, à ses yeux, un homme habile n'est pas foncièrement mauvais mais qu'il est susceptible, éminemment susceptible, d'outrepasser les limites de la bonne moralité ou de la prudence et de devenir un élément nuisible à la société.
● Tsourichadaï est assurément très habile. Il en est pleinement conscient et cherche à en profiter à fond. Le danger survient lorsqu'il est trop centré sur son talent. Il pourrait passer insensiblement de la pénombre à l'ombre. Le premier conseil qu'on puisse lui donner est qu'il doit être extrêmement vigilant et se dire qu'il n'existe pas de frontière bien définie entre l'amoralité et l'immoralité.
● S'il veut atteindre le bonheur, Tsourichadaï doit s'engager résolument dans la voie de l'altruisme. Qu'une vie est fade si elle n'est d'aucune utilité pour les autres ! Tsourichadaï sera heureux le jour où il cessera de ne vivre que pour lui-même et où il essaiera de sécher les larmes de la veuve, de consoler l'orphelin, d'aider le vieillard, de défendre les faibles et les infortunés, etc.
Citations
Rien de si aimable qu'un homme séduisant, mais rien de plus odieux qu'un séducteur (Ninon de Lenclos).
L'envie est comme un grain de sable dans l'oeil (proverbe chinois).
La beauté est pire que le vin : elle enivre et le possesseur et le spectateur (proverbe américain).