14. La promesse (Mylène)
Autant de routes, tant de frontières,
à travers monts et vallées...
tant de parfum , suaves de mystères,
comment pourrais-je te retrouver ?
Si le chemin m'a menée au loin,
sous le couvert du feuillage...
il me ramènera, c'est le destin ,
aussitôt passée l'orage...
Comme les oiseaux au printemps
à tire d'aile contre le vent...contre le temps...
Il a suffit d'une promesse,
arrogante mais modeste,
pour que s'anime l'éternité...
Comme le souvenir est futile,
si petit et si fragile,
contre les bourrasques du passé...
Il y a si longtemps que je n'ai pas plongé au creux de tes yeux...
mais le chemin, je le connais d'instinct...
alors je reviendrai si tu le veux,
ainsi sera mon destin ...
Citations
On ne peut apprendre au crabe à marcher droit (Aristophane).
Il le faut avouer, l'amour est un grand maître ; Ce qu'on ne fut jamais, il vous enseigne à l'être (Molière).
Le pas est vite franchi de la passion amoureuse à l'indifférence (proverbe chinois).
Qui se fait ânon, chacun y monte à califourchon (proverbe allemand).
Il le faut avouer, l'amour est un grand maître ; Ce qu'on ne fut jamais, il vous enseigne à l'être (Molière).
Le pas est vite franchi de la passion amoureuse à l'indifférence (proverbe chinois).
Qui se fait ânon, chacun y monte à califourchon (proverbe allemand).