45. Il y a quelques mois (lytana)
Il y a quelques mois
Tu es venu vers moi
Tu m'as passionnément embrassée
Et j'ai fini par craquer
J'avais beau penser
Que jamais je ne devrais m'attacher
J'ai finalement tout fait
Pour te voir et être si près
Je me suis prise au jeu
Dans mon propre piège, je suis tombée
Et toi, tu n'y vois que du feu
Et tu ne peux pas m'aimer
Je suis tombée amoureuse
Amour impossible, qui me rend si malheureuse
Qui me fait tant souffrir...
Comment vais-je m'en sortir?
Des vagues à l'âme, des bleus au coeur
De désespoir, je me meurs
Je me suis tant attachée
J'aurais tellement voulu être aimée
Citations
Le mariage , tel qu'il existe aujourd'hui, est le plus odieux de tous les mensonges, la forme suprême de l'égoïsme (L. Tolstoï).
Les amoureux sont comme les somnambules ; ils ne voient pas seulement avec les yeux, mais avec le corps tout entier (Jules Barbey d'Aurevilly).
Là où règne l'honnêteté, nul ne ramasse ce que d'autres ont perdu en chemin (proverbe chinois).
Que chaque renard prenne soin de sa propre queue (proverbe italien).
Les amoureux sont comme les somnambules ; ils ne voient pas seulement avec les yeux, mais avec le corps tout entier (Jules Barbey d'Aurevilly).
Là où règne l'honnêteté, nul ne ramasse ce que d'autres ont perdu en chemin (proverbe chinois).
Que chaque renard prenne soin de sa propre queue (proverbe italien).