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Symbole homosexualité (hommes)
Symbole homosexualité (femmes)

Affinités homosexuelles entre signes chinois
Singe / Chien

Singe / Chien

Couple de femmes LGBT en pique-nique, chacune tenant un enfant

● Le Singe et le Chien peuvent parfaitement être heureux ensemble à condition qu'ils sachent se faire des illusions l'un sur l'autre. Doués d'une grande perspicacité, ils n'ont aucun mal à découvrir instantanément les intentions, les qualités et surtout les faiblesses de tous ceux qu'ils rencontrent. D'une grande utilité dans la vie en général, cette faculté de percevoir constitue un handicap dans le domaine de l'amour et fait que "chez les époux tout ennuie et tout lasse" (La Fontaine). Il n'est un secret pour personne que la bonne entente a besoin de l'idéalisation, et que l'idéalisation a besoin de brouillards.

● Le Singe et le Chien courent le risque constant de se lasser mutuellement parce qu'ils peuvent être sans mystère l'un pour l'autre. Ils auront donc intérêt à ne pas tout se dire, à faire chacun un métier différent, à posséder chacun une certaine vie privée. De fréquentes absences seront aussi à conseiller. L'essentiel étant qu'ils aient toujours à se comprendre et à se deviner. Le jour où ils n'auront plus besoin de se comprendre ni de se deviner, leur amour s'effritera.

● Le Singe et le Chien sont tous deux des cyniques, ce qui fait leur force mais aussi leur faiblesse. Leur vie commune serait bien triste s'ils ne savaient faire preuve d'un peu de tolérance et de sens de l'humour.

● Un conflit peut toujours surgir entre le Singe et le Chien s'ils n'y prennent garde. Le second étant un idéaliste, et le premier un réaliste, ils auront du mal à s'entendre sur certaines choses, plus particulièrement en ce qui concerne les relations du couple avec la famille et les amis des deux côtés. Ici encore, la tolérance et le compromis devraient être la règle d'or de leur conduite.


Citations

Il n'est pas de destin qui ne se surmonte par le mépris (A. Camus).
On ne ferait pas une divinité de l'amour s'il n'opérait souvent des miracles (Abbé Prévost).
Le peintre doit s'efforcer d'imiter ses quatre sujets favoris : plier sans rompre tel le bambou, renaître en hiver tel le prunier, s'élever au-dessus des conditions adverses tel le chrysanthème, et représenter l'élégance suprême tel l'orchidée (proverbe chinois).
Il est plus facile de connaître dix pays qu'un seul homme (proverbe yiddish).