49. Besoin de rien (Anonyme)
Sur le chemin de la destinée,
Je ne savais pas que vous seriez
Le plus beau cadeau que la vie me ferait
Sur ce chemin tourmenté,
Telle une divine et intrépide cruauté,
La passion a encore gagné
Et dans ces souffrances effrénées,
Mon esprit s'en est exalté de nos regards lacés,
Vos yeux ont enfin percé tous mes secrets
Comme un jet de feu follet inavoué,
Je vous ai déjà pardonné,
J'ai succombé aux désirs les plus indiscrets
Je me nourris encore de vos baisers tant convoités,
Mes pensées pourrissent l'espoir de vous mériter,
Mon coeur vous aime, mon Adoré, pour l'Éternité.
Citations
On ne parle jamais de soi-même sans perte: les propres condamnations sont toujours accrues, les louanges mescrues (Montaigne).
L'amour avidement croit tout ce qu'il souhaite (Racine).
Quand la main désigne le but, l'innocent regarde la main (proverbe chinois).
Le renard cache sa queue (proverbe français).
L'amour avidement croit tout ce qu'il souhaite (Racine).
Quand la main désigne le but, l'innocent regarde la main (proverbe chinois).
Le renard cache sa queue (proverbe français).