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Jeune couple se regardant amoureusement

Affinités amoureuses entre signes chinois
Femme Bouc / Homme Bouc

Femme Bouc Image animée d'un coeur qui bat Homme Bouc

Couple en vespa en ville, l'homme conduisant

● Comme on ne saurait vivre uniquement d'amour et d'eau fraîche, deux Boucs qui s'aiment seront tôt ou tard confrontés à un choix pénible: ou bien ils devront changer leur mode de vie en réduisant les dépenses et les frivolités, ou bien ils devront se quitter pour ne pas être un calvaire l'un pour l'autre. Quant aux infidélités qu'ils auront pu commettre, elles n'auront pratiquement aucune incidence sur leurs rapports, car tout deux ont une attitude extrêmement libérale envers les devoirs de l'amour.

● Les débuts de leur passion seront merveilleux. Ils donneront libre cours à leur fougue, leur imagination, leur fantaisie et leur insouciance. Ils seront réellement eux-mêmes à cette époque-là, refusant toute contrainte et toute contrariété.

● Mais la vie ne tardera pas à les mettre en face de dures réalités. A moins qu'ils ne trouvent un riche mécène ou ne recueillent un colossal héritage, le problème de l'argent les assaillira de toutes parts. Ce problème est à coup sûr susceptible de détruire la plus intense passion et la plus belle idylle.

● Ce n'est un secret pour personne que le Bouc est paresseux et espère toujours que les cailles lui tombent toutes rôties dans la bouche. Si deux Boucs font ménage ensemble, il ne serait pas difficile d'imaginer le désarroi qui les frappera un jour ou l'autre. Ils risqueront d'avoir la visite d'un huissier.

● On ne saurait trop conseiller aux Boucs amoureux d'être prudents dans leurs dépenses et de s'atteler à un travail sérieux. La vie n'est pas un simple jeu. Ils devront s'accrocher à leur travail comme à une bouée de sauvetage, si pénible qu'il puisse être. " La paresse chemine si lentement que la pauvreté la rattrape ", disait Benjamin Franklin. Et la pauvreté est l'ennemi numéro un de l'amour.


Citations

On a toujours autant de maîtres que de vices (Pétraque).
Le premier symptôme de l'amour vrai chez un jeune homme, c'est la timidité, chez une jeune fille, c'est la hardiesse (Victor Hugo).
Un maître désireux d'être bien servi attire par ses bienfaits et encourage par ses récompenses (proverbe chinois).
Le vent n'entre point s'il ne voit par où il pourra sortir (proverbe français).